C’est une guerre au soleil, sur les rivages d’une mer émeraude. Une guerre qui ne dit pas son nom, alors même qu’elle fait des milliers de victimes chaque année. Une guerre qui a transformé Acapulco la touristique en l’une des ville les plus dangereuse au monde. Une guerre menée par des gangs qui s’entretuent pour la maîtrise du racket ou du trafic de drogue.
Orphelin, enfant des rues, le photographe Bernandino Hernandez documente ce conflit, né de la pauvreté et de la faillite de l’état. Un travail photographique au plus près des faits, dans la tradition des « notas rojas », ces chroniques criminelles publiées depuis un siècle par la presse mexicaine.